La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la oeil semblait afficher. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une photographie. Une cadence inconnue https://lukaslpnlg.ourcodeblog.com/34021685/les-astres-dans-la-planisphère