Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son usage, attendait que l’obsidienne traite à nouveau. La pierre noire semblait absorber la luminosité sélénien, pervibrer sous la pression du vent, et assez fréquemment, sans informer, elle résonnait de cette voix https://tysoncmrvz.jaiblogs.com/60908145/l-ombre-du-combiné-d-obsidienne