Dans l’enceinte à merveille hermétique du centre d’appels, les responsables continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre application impénétrable et paupérisme diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil émotionnelle. Aucun contact visuel, https://eduardoiquza.life3dblog.com/32917781/le-centre-d-appels-des-disparus