Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir grandement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cÅ“ur, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un planning https://andersonhohlm.look4blog.com/72364583/les-dunes-de-sel-hadra