Le message est arrivé quelques heures ensuite. Il ne contenait pas un grand nombre de silhouette. Mais il disait ce qu’il fallait. Pas ce que j’attendais. Ce que je n’arrivais pas à me présenter. Une phrase m’a frappé. Pas violente. Juste exacte. Elle m’a stoppé. Puis elle m’a recentré. Je https://keeganfsbkq.sharebyblog.com/35987585/quand-peu-de-mots-suffisent-à-ouvrir-une-voie